« Nous avons appris la démission de notre syndic RS GESTION (NDLR : 94100 SAINT MAUR DES FOSSES ) quand nous avons reçu la convocation de l’assemblée générale. Le contrat de syndic prévoit l’envoi d’une lettre recommandée 3 mois avant la date de l’AG. Ce qui n’a pas été fait.
Maintenant nous découvrons la mauvaise gestion de RS GESTION. –
Début 2021 un fournisseur attend le règlement d’une facture de 2017. Une facture de 2019 n’a pas été enregistrée donc pas payée. Au mois de décembre 2020, date de l’AG, nous découvrons que ce fournisseur n’est plus payé depuis le mois de juillet. Dans le grand livre de fin 2019, le dernier que nous avons eu on ne peut pas s’apercevoir des retards de paiement pour ce fournisseur. –
Tout est fait pour que nous ne puissions pas suivre les comptes, les virements concernent plusieurs fournisseurs, les relevés bancaires arrivent sur l’intranet avec plusieurs mois de retard, les virements ne sont pas détaillés.
Nous demandons des explications à RS GESTION, pas de réponse. – Un autre fournisseur a un compte qui n’est pas équilibré malgré 25 ordres de virement le même jour dont nous ne connaissons pas le contenu (certainement une reprise de facturation sur plusieurs années. –
Autre exemple : RS GESTION a payé une facture 2 fois, pour le calcul des charges
RS GESTION prend en compte uniquement le remboursement du trop payé et RS GESTION ne tient pas compte des sommes payées à tord. Logiquement ces 2 sommes s’annulent. – En février 2019 RS GESTION facture 2 fois la même somme à 15 jours d’intervalle, je leur signale, RS GESTION répond que 2 factures ont le même montant pour le même fournisseur, la réponse ne me satisfait pas, mais RS GESTION ne me fournit pas les factures.
Il a fallu attendre la vérification des comptes (18 mois plus tard à cause du covid19 pour avoir l’explication). Ce règlement correspond à une facture travaux dont l’AG a eu lieu 2 mois après, les appels de fonds n’étaient pas décidés, l’entreprise n’était pas choisie et les travaux ont commencé 7 mois plus tard.
Tout ça pour ne pas avouer une erreur de comptabilité qui a entrainé un découvert à la banque. »